L’Oligarchie est responsable et coupable !

Les récentes révélations concernant le meurtre de Lola, 12 ans, dans le 19ème arrondissement de Paris, et les réactions des uns et des autres nous poussent à évoquer quelques points qui nous paraissent fondamentaux.   

Car oui, il ne s’agit pas d’un simple « fait divers » vite oublié dans le torrent des actes criminels qui s’accumulent dans les colonnes des journaux. Il faut l’analyser comme une accélération du glissement vers la barbarie dont sont responsables les oligarchies qui nous dominent. 

Les faits : Une pré adolescente, issue des classes populaires et laborieuses, a été tuée après avoir subi d’innommables supplices. Elle a été tuée par une Algérienne arrivée en France en 2016 avec un visa d’études bidon (pour un CAP…). Elle était sous l’obligation de quitter le territoire. Si la loi avait été appliquée, Lola serait vivante. 

Mais la loi est pour nos dirigeants uniquement faite pour défendre leurs intérêts et leurs biens. Ils savaient l’utiliser comme outil de domination, mais de moins en moins pour assurer la sécurité du peuple français. Aidés en cela par le lumpenprolétariat qu’elles convoquent à chaque fois qu’il s’agit de renforcer leur pouvoir. 

Une fois de plus, la racaille d’en bas a tué une enfant de France avec la complicité de la racaille d’en haut. Cette jeune, Lola, n’est que la dernière victime d’une longue, trop longue série de meurtres, tortures, viols dont la plupart auraient pu être évités. Cette sordide affaire n’est pas le résultat de la folie d’un individu isolé mais bien d’un système qui, lorsqu’il ne fabrique pas les monstres, les laisse faire, voire les utilise. 

Il faut bien se questionner sur les moyens que la classe dominante et ses laquais utilisent pour mener leur guerre contre le peuple et contre tout ce qui fait barrage au révoltant monde liquéfié que ces classes dominantes veulent imposer au nom de leur idéologie postmoderniste, où l’humain n’est qu’un chiffre sinon un déchet.   

Cette classe a pris le pouvoir entre les années 1970 et 1980. Nommons l’ennemi : il s’agit pour la plupart de détraqués qui ont en haine l’innocence, la dignité, le courage, l’honneur. Ils parlent de « patriarcat », de « fascisme », de « liberté » dans le seul but de mieux désarmer leurs victimes : vous, et vos enfants. 

Ils infestent ces catins que sont les plateaux télé. Pérorent sur les médias pour vous culpabiliser. Ils signent des tribunes pour légaliser la pédophilie, ils poussent à des guerres à l’étranger au nom de la démocratie et des Droits de l’Homme, ils vous parlent d’écriture inclusive et de transphobie lorsque vous n’arrivez pas à payer vos loyers devenus indécents et que vous osez vous en plaindre.   

 Ils vous traitent de racistes quand vous décidez de quitter votre quartier devenu invivable à cause des racailles. Ils utilisent une immigration folle pour faire marcher une machine capitaliste faite de déshumanisation et de consommation ; une machine capitaliste qui a comme moteur la jouissance, qu’ils titillent en permanence en plongeant les masses en un abrutissement libidineux fait de Netflix, de pornographie, de drogues de tout genre et de stupidité. Ils détestent profondément l’enfance et l’innocence qu’elle représente. 

Ils mènent une guerre sans merci contre le peuple de France, et pour cela, ils utilisent tous les moyens possibles, dont celui de l’insécurité permanente est l’un parmi les plus spectaculaires.

Et ils s’en fichent profondément des conséquences – la mort d’une enfant n’est, pour eux, qu’une conséquence parmi d’autres. Un « effet collatéral » de leur monde taré où toutes les valeurs structurantes sont inversées.  

Un monde où ils vous font croire que oser se plaindre, que remettre en question leur idéologie, signifie « récupération politique », « indécence » et, bien évidemment, « discours de haine ». Les faits sont têtus disait Lénine et tous prouvent que nos élites sont responsables et coupables de ce plongeon dans la barbarie. Ils veulent un changement de civilisation, un point, c’est tout. 

Mais nous, nous n’en voulons pas de leur monde. Ce n’en est pas un ! C’est un enfer qui doit être combattu, et qui doit disparaître avec eux. L’indécence n’est pas du côté de ceux qui dénoncent, qui subissent chaque jour les effets de leurs idéologies. L’indécence, c’est eux. L’indécence, ce sont également leurs laquais, qui devront un jour rendre compte de leurs traîtrises, de leurs haines. 

Il y a plusieurs façons de réagir à ce drame. Certains instrumentalisent de manière dégueulasse pour tenter un retour politique ou vendre du papier, ils prouvent juste en faisant cela qu’ils participent à ce monde finissant et que notre mépris pour eux est justifié une fois de plus. 

Pour notre part, nous vous invitons à la prière, à se recueillir, et demander la force pour combattre efficacement cet enfer que nos classes dominantes veulent nous imposer :  le Mal ne dort jamais, et il se manifeste de plusieurs façons. A nous de le regarder droit dans les yeux et de le combattre ! 

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