« Nous aimons le combat »
«Notre ennemi doit le savoir : nous allons nous battre.
Cela tombe bien car nous aimons nous battre, nous adorons ça, nous n’aimons que ça, c’est le sens de notre vie, nous n’arrêterons donc jamais car la paix nous ennuie. Le combat, le polemos, c’est la vie, comme disait Héraclite.
C’est dans le combat que nous nous sentons vivre et que nous sommes heureux. La perspective de l’affrontement nous remplit de bonheur, nous commençons à sourire et nos yeux brillent quand l’heure de la bataille approche.
Et nous ne sommes jamais fatigués, jamais découragés, et nous revenons toujours à l’assaut car la victoire n’est même pas le but, car nous aimons le combat pour le combat et qu’il est en lui-même la récompense. Et c’est ainsi que ceux qui aiment la vie en tant qu’elle est combat deviennent invincibles et ne peuvent que gagner. Car la victoire, c’est de se battre».
GRAND débat : La réforme de la Justice oubliée, alors que notre système judiciaire ne correspond pas à notre idéal républicain.
La séparation des pouvoirs, indispensable dans un état de droit, n’a pas pour objet, de desservir la Justice, en donnant faculté, à des magistrats et avocats, de faire preuve, et de défaillances ou partialités délibérées, par corporatisme, corruption, puis de suffisance indue de ne pas les reconnaître. Les Hommes de loi ne sauraient être au-dessus des lois.
J’en suis le témoin et la victime depuis 2013, et réclame, notamment, depuis 7 mois, en vain, réparation des jugements, rendus par le Tribunal civil, le parquet et le barreau de Briey, par le biais de requêtes en rectification pour erreurs (fautes) et omissions, dont j’ai les preuves gravissimes,…, alors que c’est mon droit, d’autant que la loi impose qu’elles soient jugées par le Tribunal défaillant.
Un tel mépris à l’égard du justiciable, prouve combien le peuple souverain, au nom duquel la Justice est rendue, doit exiger la réforme de notre système judiciaire.
C’est pourquoi, dans l’intérêt de tout justiciable honnête, j’invite à signer et à partager largement ma pétition :
https://www.mesopinions.com/petition/justice/suppression-immunite-juges/28468
Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République,… restée sans réponse …
Suite au courrier que je vous ai adressé, le 5 novembre 2017, faisant état de dysfonctionnement de la Justice, – pour lequel votre réponse du 21 décembre 2017, a consisté à me faire savoir qu’étant garant de son indépendance, vous ne pouviez intervenir-, vous trouverez, néanmoins, ci-joint, l’ultime courrier adressé à Monsieur le Procureur Général de la Cour d’appel de Nancy, qui précise qu’un refus de ma requête ne me permettrait pas de poursuivre par des procédures, aussi contraignantes que longues, aussi coûteuses qu’accablantes, de par le déni de Justice constant, dont nous sommes victimes, depuis cinq ans, et de par la grande probabilité que ce dernier puisse perdurer, grâce au système actuel qui l’autorise.
En effet, force est de constater, que les défaillances dénoncées de Magistrats et Avocats, sont facilitées par leur quasi immunité financière, qui est, non seulement, propice à leur corporatisme et à des suffisances exacerbés impropres, jusqu’à faire fi de leur éthique, mais qui est, aussi, et contraire au principe d’égalité en droit de notre République, et inconvenante au fait que le peuple, au nom duquel la Justice est rendue, attend exemplarité et intégrité de ceux en charge de la rendre.
Si, comme tout citoyen, les Magistrats répondaient de leurs fautes, en les réparant avec leurs deniers personnels, cela ne pourrait que conforter la justesse et la pertinence de leur indépendance, à l’égard du pouvoir politique, ou autres.
Si les Avocats ne disposaient pas d’assurance professionnelle générale, en charge de couvrir leurs fautes, ils devraient les réparer, personnellement, comme tout citoyen.
N’est-il pas du devoir du Pouvoir politique de dissuader toute malversation de ceux en charge de rendre justice, – en supprimant ces privilèges, dont ils jouissent, indéniablement propices à des abus ? Il ne suffit pas de revêtir une robe, pour être infaillible.
Dans notre cas, qui est loin d’être isolé, Avocats et Magistrats n’ont cessé de tenter de nous dissuader d’obtenir justice (perte de dossier, refus de réparer escroquerie au jugement les impliquant, outrage à Magistrat pour avoir osé lui écrire qu’il se trompait …, non respect du principe du contradictoire …, dissimulations de justificatifs, erreurs délibérées …).
Un système judiciaire qui autorise de tels dysfonctionnements n’est-il pas réformable ? Un magistrat, reconnu coupable, par le CSM, après de nombreuses années de procédures, faisant supporter la réparation de ses fautes par le contribuable, n’est-ce pas indigne ? Un Avocat qui préfère protéger un confrère de ses fautes, au détriment de son client, est-ce digne ? La France, qui a agréé un texte de la Commission européenne de Justice, précisant que tout Humain peut se défendre seul, et qui ne le respecte pas, est-ce digne ? … Une plainte peut-elle être rejetée, sans même être dénommée et jugée ? … Dès que la faute d’un Magistrat, ou d’un Avocat, est révélée, en cours de procédure, ne devrait-elle, sans tarder, être jugée et réparée ?
Certes, il existe des procédures en rectification pour erreurs et omissions qui doit être déposées au tribunal qui les a commises, mais malgré ce droit, les magistrats peuvent se permettre de faire la sourde oreille, comme si une telle requête relevait de leur bon plaisir, alors qu’il leur incombe de la recevoir afin de la rectifier et réparer.
Si un tel mépris à l’égard du justiciable perdure, je ne puis, du fait de mon âge, de par le préjudice moral et financier grandissant et éprouvant, de par mon désir de contribuer à l’idéal de transmettre un meilleur, que dénoncer, publiquement, le fait que les personnes en charge de Justice, puissent accabler malhonnêtement, des honnêtes gens, grâce à leur assurance immorale de ne pas avoir, à en rendre compte personnellement et financièrement, comme tout citoyen.
Se confronter à la forteresse du système actuel judiciaire de notre pays, relève, malheureusement, du combat de David contre Goliath. Mais, un citoyen attaché à nos louables principes de liberté et d’égalité, qu’il faut, sans cesse, préserver et développer, devrait pouvoir inviter le pouvoir politique à faire les réformes nécessaires pour moraliser notre Justice, – ce qui, en outre, contribuerait à supprimer la lenteur excessive et coûteuse des procédures, si l’on s’appliquait, notamment, au respect du contradictoire, dès la première instance, par une confrontation réelle des parties, en présence des Juges, ce qui éviterait nombre de reports intempestifs, de fautes et erreurs dues aux décisions prises dans leurs isoloirs, qui rendent, souvent, superfétatoires, les audiences publiques actuelles…Sans justice équitable, la République n’est qu’illusion.
Croyez, Monsieur le Président de la République, à mes sincères salutations, d’autant plus respectueuses, si vous engagez, de par la hauteur de votre charge, et la majorité dont vous disposez, la réforme de notre Justice, qui en a profondément besoin, ce qui ne pourra que réjouir notre peuple.
Réformons notre justice pour la rendre, enfin, conforme aux principes humanistes de notre République, ou à sa moralisation qui implique déjà de supprimer tous les privilèges inadmissibles, propices aux dérives, dont bénéficient ceux en charge de la servir et de la rendre.
Exigeons des élus et partis politiques qu’ils suppriment l’immunité des Juges, qui peuvent, actuellement, faire preuve de partialité délibérée, sans avoir à en rendre compte personnellement aux honnêtes justiciables qu’ils accablent.
L’indépendance de la Justice n’a pas pour objet de protéger les défaillances de ceux en charge de la rendre. En démocratie, tout pouvoir implique contre pouvoir.
En république, l’égalité en droit implique nul passe droit ou privilège d’antan.
Merci de partager largement ; je me dois, désormais, de porter plainte contre avocats, juges, bâtonniers, procureurs, pour déni de justice persistant, non seulement pour défendre ma juste cause et mon honneur bafoués, au profit d’escrocs, mais, surtout, pour contribuer à notre idéal républicain qui implique d’avoir un système judiciaire plus efficace et exercé d’une façon intègre …. A quoi sert l’existence si l’on ne cherche pas à améliorer celle de nos enfants.
Seul, notre peuple souverain a pouvoir et devoir, avec le concours des médias, d’imposer la réforme de la Justice de notre pays qui en a grand besoin.