Conflits d’intérêts : Pfizer, McKinsey, Fabius, Buzyn et Wuhan
Emmanuel Macron, banquier chez Rothschild en 2008, est devenu millionnaire en pleine crise financière, en négociant le rachat de la filiale nutrition pour du lait maternel de Pfizer par Nestlé. Cette transaction lui aura permis de garder bien au chaud dans son portefeuille de connaissances les américains de Pfizer a qui il doit donc beaucoup.
Le président Macron a décidé de confier la gestion de la campagne de communication de la vaccination a un cabinet extérieur américain situé dans le Delaware (État connu pour son optimisation fiscale) du nom de McKinsey. C’est à dire, qu’en plus de payer des ministres, des conseillers, des hauts fonctionnaires et des organismes de Santé, l’état va verser 2 millions d’euros d’argent public par mois pour des conseils en stratégie. Il se trouve que ce cabinet avait déjà travaillé pour la campagne électorale d’Emmanuel Macron et qu’ils se connaissaient depuis que ce dernier travaillait à la commission Attali en 2007. Le cabinet travaillait déjà sous Nicolas Sarkozy à une » optimisation du processus de naturalisation » avec le ministère de l’Identité nationale. En 2017, il avait aussi conseillé le gouvernement d’Angela Merkel sur l’accueil des migrants dont s’est inspiré le gouvernement français par la suite.
Il se trouve que le directeur associé du cabinet McKinsey en France n’est autre que Victor Fabius, le fils de Laurent Fabius, « responsable mais pas coupable » du scandale du sang contaminé lorsqu’il était ministre sous François Mitterand. De 1983 à 2003, plus d’un millier de patients hémophiles se sont fait transfuser du sang contaminé au VIH et à l’hépatite C malgré des alertes dès 1983. En 1991 est publié dans la presse un rapport daté de 1985 révélant que les médecins ont sciemment transfusé du sang qu’ils savaient contaminés pour des raisons financières. En 1999 l’ancien premier ministre socialiste puis président de l’assemblée nationale Laurent Fabius est condamné pour homicide involontaire puis finalement relaxé. Malgré plus d’un millier de morts, cela ne l’empêche pourtant pas de continuer sa carrière politique jusqu’à aujourd’hui et d’être président du Conseil Constitutionnel. Le 5 août 2021 est validée par ce même conseil, la fameuse loi de l’extension du passe sanitaire, notamment défendue par son fils au sein du cabinet McKinsey.
Lorsque le virus de la Covid-19 est apparu fin 2019 en Chine puis a été déclaré pandémie en mars 2020 par l’OMS, la ministre de la Santé depuis 2017 était Agnès Buzyn. Elle quitte le gouvernement pour présenter en mars 2020 sa candidature aux élections municipales de Paris, deux jours après avoir affirmé qu’elle ne le ferait pas. Médecin spécialiste d’hématologie, elle collectionne les postes au sein des grandes institutions publiques de médecines et du nucléaire tout en étant fréquemment financée par des laboratoires (Novartis ou Bristol-Myers Squibb) pour présenter leurs médicaments. Elle avait notamment durant son mandat rendu obligatoire 11 vaccins au lieu de 3 pour les enfants, fit annuler le remboursement de médicaments homéopathiques et défendait le projet de loi bioéthique pour la PMA (procréation médicalement assistée) aux couples de femmes et aux femmes célibataires, ouvrant la voie à la GPA et à la marchandisation du corps et des nourrissons. Le 17 mars 2019, elle s’exprime aussi au sujet des retraites regrettant que les gens vivent de plus en plus longtemps, en questionnant : « Je suis médecin, je vois que la durée de vie augmente d’année en année. Est-ce que […] nous allons pouvoir maintenir sur les actifs le poids des retraites qui vont augmenter ? »
Après que trois cas de Covid-19 sont enregistrés en France, celle-ci déclare le 4 janvier : « Le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul […] le risque de propagation est très faible ».
Elle connaît bien l’Institut de virologie de Wuhan, ville où l’on a recensé les premiers cas de malades infectés. Il dispose d’un laboratoire classé P4 (pathogène de classe 4), permettant d’étudier les plus dangereux virus, qui a été construit en 2015 avec la France et plus précisément avec l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) que dirige alors Yves Lévy, le mari de la future ministre, nommé directeur en 2014.
Dès le début de l’épidémie certains soupçonnent le laboratoire d’être l’origine de la fuite du virus. La presse officielle s’empresse de les accuser de complotistes, mais pourtant fin mai 2021, le journal Libération très hostile à ces mêmes » complotistes qui votent RN » admet finalement de possibles origines du virus depuis le laboratoire Wuhan rappelant l’importance pour l’OMS d’enquêter.
Un article de Newsweek d’avril 2020 rappelle des financements américains par le Docteur Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses aux États-Unis depuis 40 ans et surtout le conseiller spécial de sept présidents américains depuis 1984, qui a soigné Donald Trump et conseille Joe Biden, via EcoHealth Alliance présidé par Peter Daszak vers le laboratoire chinois portant sur la recherche en « gain de fonction » qui consiste à » créer un virus ayant acquis de nouvelles propriétés qui le rendent plus pathogénique et/ou plus transmissible chez l’humain « .
Richard Ebright, biologiste moléculaire à l’université Rutgers prévient sur Twitter que ces financement concernent des modifications de nouveaux coronavirus, issus de chauve-souris, » chimériques liés au SRAS combinant un gène de pointe d’un coronavirus avec des informations génétiques d’un autre coronavirus, confirmant que les virus résultants pouvaient infecter des cellules humaines. »
Ces informations avait été démenties par le docteur Fauci le 20 juillet 2021 face au sénateur républicain Rand Paul alors qu’un procès intenté par BuzzfeedNews l’avait obligé à révéler en juin 2021 plus de 3000 pages d’emails qu’on appelle les « Fauci Leaks », permettant de prouver que ce dernier avait menti sur plusieurs points, notamment l’hydroxychloroquine qu’il désavouait et les subventions sur le développement de coronavirus transmissibles à l’homme dirigées vers le laboratoire Wuhan. Le journal The Intercept a lui étudié plus de 900 pages de documents confirmant ces subventions.
En 2018, l’INSERM dirigé par le mari de la ministre de la Santé lance un communiqué validé par la même ministre qui retire le label permettant une certaine autonomie aux IHU, notamment l’IHU (Institut hospitalo-universitaire) Méditerranée Infection dirigé par Didier Raoult. Il s’agit déjà de conflit d’intérêt.
Lorsqu’au début de l’épidémie, le professeur Dider Raoult, microbiologiste spécialiste des maladies infectieuses et professeur des universités-praticien hospitalier propose un traitement peu onéreux contre le virus à base d’hydroxychloroquine, celui-ci est vivement critiqué et Agnès Buzyn classe son traitement sur la liste des substance vénéneuses, pour ouvrir la voie à l’unique produit acceptable : les vaccins à adénovirus et à ARN messager. Des molécules connues et administrées depuis 50 ans deviennent tout d’un coup dangereuses et des vaccins pour lesquels on a aucun recul sont sûrs et sans risque.
Lorsque Yves Lévy cherche dans un premier temps à renouveler son mandat en 2018, on relève alors un conflit d’intérêt, puisque le ministère agit en étroite collaboration avec l’INSERM.
La 4 janvier 2021, Agnès Buzyn est parachutée à l’OMS pour officiellement représenter l’organisme auprès du G7, de l’Union européenne ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates. L’OMS est aussi en charge d’enquêter sur le laboratoire de Wuhan. Tout va bien dans le monde d’entre-soi de la haute bourgeoisie défendant le capitalisme, les institutions qui l’appliquent, les grosses entreprises, et Big Pharma.
Extrait de « Manifester contre le passe sanitaire », à paraître dans Rébellion n°93
Texte et illustrations : Holy Mane, septembre 2021