Election de Emmanuel Macron : La barbarie avec le sourire
« La lutte des classes existe, et c’est ma classe, celle des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la remporter ».
Warren Buffet, milliardaire américain, 1ère fortune des Etats-Unis
« Nous entrons dans la barbarie » écrivait le philosophe Michel Henry en 1987. Comment ne pas appeler barbarie la froide logique qui anime le capitalisme d’Emmanuel Macron ? Une barbarie globale et sans limite qui vient saper l’ensemble des choses qui faisaient qu’une vie méritait d’être vécue. Une barbarie qui est au coeur même du système, l’expression froide de l’arraisonnement du monde par sa volonté destructrice. Il cherche le chaos pour se nourrir du désordre et poursuivre sa course folle.
Cette barbarie se déchaîne dans la guerre sociale en cours, c’est une violence qui ne dit jamais son nom. C’est la répression directe libéra-sécuritaire mais surtout l’emprise de l’aliénation qui referme son étau sur les esprits. Cette maîtrise totale des cartes d’un jeu truqué qui sape le courage et plonge dans une dépression végétative la plupart de nos contemporains.
Cette état prégnant de barbarie qui vise à cultiver une insécurité permanente ( sous le nom de flexibilité) et créer un environnement hostile à la nature humaine, associé à la dissolution de toutes les formes de vies communes existantes ( de la famille à la Patrie) , c’est le triomphe de la guerre de tous contre tous.
« Le peuple ou le système » ? Pour notre part, nous avons fait notre choix. Le choix de la France populaire et rebelle pour redevenir des acteurs de notre vie, pout choisir notre destin. Cela nous amène à explorer de nouvelles pistes pour nous détacher du système. Une quête de la perfection tangible et vivante sous la forme d’une tension toujours maintenue par la volonté d’action.
Note :
Nous reviendrons dans le prochain Rébellion et sur notre site sur les enjeux de cette nouvelle époque qui vient de naître.